Nantes, années 90. Dominique A, Little Rabbits, Diabologum, Miossec… Etudiant aux Beaux-Arts et guitariste autodidacte, Aymeric se prend de passion pour la chanson. Tout en réalisant des films d’animation, des clips et des courts métrages, il s’essaye à l’écriture, au chant.
Au travers de diverses formations sur Nantes puis Strasbourg où il déménage fin 99, il développe une écriture, un jeu à lui, fait la rencontre de Pascal Benoît (ex Kat Onoma) avec qui il enregistre Acid Beach, premier album solo de ce dernier. Puis il enregistre sous son nom un premier 5 titres (En territoire Indien, 2007) suivi d’un album (Porte de Sortie, 2011). Il se produit sur scène tantôt seul, tantôt accompagné. En parallèle, il compose des musiques de ciné-concerts, de performances ou de films documentaires et réalise ses propres clips et visuels de pochettes.
Installé à Paris depuis 2011 où il renoue un temps avec une expérience en groupe (Cavale), Aymeric entame l’écriture et la composition d’un second album solo à l’automne 2015. Enregistré seul et en home studio sur deux années, Qu’est-ce qu’on y voit ? sort en autoproduction au début de l’année 2018.
Aymeric reprend la scène avec à ses côtés la guitariste et chanteuse Julie Kim et donne régulièrement des concerts sur Paris et en région Bretagne / Pays de la Loire l’été. Il poursuit la création de musiques pour films documentaires et enregistre de nouvelles chansons dans deux formats distincts : l’un acoustique, l’autre électrique, qui devraient donner lieu prochainement à deux nouveaux albums.
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PRESSE
» Ici on entend le blues urbain, le rock malaxé, et enfin quelques bribes de chanson dite traditionnelle. un écho lointain d’une énergie new wave retravaillée et repensée en français, tout simplement (…) un univers personnalisé et poétique. une volonté clairement affichée de raconter des histoires autrement (…) » (DNA)
« Aymeric Jeay est un artiste solo mais pas solitaire, évoluant tantôt seul – armé de ses guitares et de pédales samplers qu’il dirige de main de maître – tantôt en groupe. Il est à ranger dans la catégorie de ces song-writers rares et élégants qui parviennent par petites touches impressionnistes à créer un univers délicat et attachant. Quelques écoutes suffisent pour tomber sous le charme de ce garçon à l’écriture affûtée. » (CD1D Labels Indépendants)
» Formé à l’école des Beaux-Arts, il a touché au dessin animé et au cinéma avant que le son – travaillé jusque là en appoint – ne recouvre l’image, avec un désir constant d’écriture (…) Il y a quelques jolies pistes, dont les lignes évidentes de ritournelles réjouissent les oreilles entre d’autres lignes plus anguleuses. « (Reflets DNA)
» Minimaliste mais jamais minime, l’univers d’Aymeric fait songer à cette frange d’une nouvelle scène française en clair-obscur – et a on raison. Mais tout aussi bien on se trompe : guitare-voix exigeante et maitrisée, rock avec des élans électriques, l’unité est à chercher dans les textes, mélancoliques et élégants. » (CUT la Revue).
» Ce dernier, après avoir goûté au punk wave, sample maintenant ses états d’âme aux sons de sa guitare dans un univers bien personnel fait de pop, de blues et d’électro (…) » (L’Alsace).